Le camp de Madjanek ayant été vidé de ses occupants, c’est par des monceaux d’effets personnels que les Soviétiques prennent conscience du processus d’extermination. Au versant du cliché pris par Y. Tamin, figure cette légende en anglais : « Le camp d’extermination de Majdanek à Lublin. Ce sont quelques-uns des passeports appartenant aux personnes conduites à la mort dans le camp-prison de Lublin ».
Le cliché porte le visa de la censure soviétique.
Le cliché porte le visa de la censure soviétique.