Pour les Alliés occidentaux comme pour les Soviétiques, la « libération » des camps n’a pas été planifiée.
Elle intervient au gré des opérations militaires.
Parler de « libération » est donc un abus de langage même si le soulagement des déportés, lorsqu’ils sont en mesure d’apprécier les événements, est considérable.
La « découverte » des camps, à l’Ouest comme à l’Est, est un choc moral immense mais dont l’impact est de courte durée.