L’image fut considérée comme une arme majeure pour informer et pour apporter des preuves de la culpabilité nazie. De nombreux photographes, professionnels ou amateurs, célèbres ou débutants, furent témoins de la libération des camps. Certains travaillaient pour des agences de presse, des journaux ou pour l’armée.
Lee Miller suivit la guerre comme photo-reporter pour
Vogue.
George Rodger, en uniforme, a travaillé pour différentes agences et pour le magasine américain
Life. Margaret Bourke-White a vécu la guerre sous uniforme de l’armée américaine. Pour la plupart, les camps ne représentèrent qu’une étape de 24 ou 48 heures sur le chemin des opérations militaires.
La découverte et les libérations des camps